Un drame sur la ligne TGV

Le 24 décembre 2024, à Crisenoy, un conducteur de TGV a mis fin à ses jours en sautant de son train en marche. La SNCF a confirmé cet acte tragique, déclenchant des perturbations majeures sur la ligne à grande vitesse Sud-Est, affectant des milliers de voyageurs.

Une situation alarmante

La victime a été identifiée comme Bruno Rejony, âgé de 52 ans, un véritable acteur du syndicat CGT cheminots, engagé dans la défense des services publics. Les premières constatations indiquent que le conducteur a agi de manière volontaire, causant un véritable choc au sein de la communauté ferroviaire.

Les mesures de sécurité ont fonctionné

Grâce au système de sécurité « Veille Automatique avec Contrôle du Maintien d’Appui » (VACMA), aucun passager n’a été mis en danger. Comme l’a précisé la SNCF, dès que le conducteur a quitté son poste, les dispositifs de sécurité se sont activés et le train a été immobilisé.

Les conséquences pour les voyageurs

Cette tragédie a conduit à des retards allant jusqu’à cinq heures sur divers TGV circulant sur l’axe Paris-Lyon. Le plan Pégase a été activé pour gérer le flux important de passagers, mais la mise en œuvre a été difficile et les voyageurs ont dû faire face à des désagréments considérables.

Une enquête est ouverte

Une enquête judiciare a été ouverte par la gendarmerie de Melun afin de déterminer les causes exactes de cet incident. La SNCF a également lancé une enquête interne.

Un soutien aux équipes

Face à ce drame, la SNCF a mis en place une cellule d’accompagnement psychologique pour les agents affectés par cette perte tragique. L’entreprise a exprimé ses condoléances et son soutien à la famille de Bruno Rejony.

Dès cette nouvelle, la communauté ferroviaire pleure la perte d’un de ses membres les plus dévoués.

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